plainte contre X

Messieurs les juges,

Je souhaiterai déposer plainte X. En effet, depuis plusieurs cycles, un certains nombre de mes systèmes subissent des déstabilisations importantes qui sont inexplicables (aucun rapport avec l'imposition, ...)

Je n'ai aucune idée sur l'auteur de ces coups bas, et encore moins de preuves du coupable potentiel.

D'avance merci de prendre en compte ma demande.

Le dépôt de plainte est bien enregistré. Nous demandons au ministère de la paix de mener l'enquête et de tenir la cour informée cycle après cycle de la progression de ses travaux.

Clarke a écrit:

Ces actes de sabotages ne resteront pas impunis !

En l'espace de deux cycles trois systèmes de l'AT ont subit des actes de sabotages généralisés sur tous les batiments présents ! Plus qu'une attaque terroriste, c'est un crime contre l'humanité : la quasi-totalités des population présentes ont fuit ou péri dans les destructions, sans parler de ceux vivant sur des planètes hostiles sous des tentes préssurisées qui ont été littéralement crevées !

Il s'agit d'actes de haute trahison et de sédition, mettant en danger la sécurité même de l'Alliance, et en tant que tel ces crimes sont impardonnables ! Le nombre de victimes (plusieurs millions !!) est titanesque, c'est un crime de guerre !

Les coupables, quels qu'ils soient, seront retrouvés et passeront devant un tribunal militaire pour haute-trahison et crime contre l'humanité, nous ne les laisseront pas les commanditaires de ces attaques se cacher derrière cette OLP qui a eut l'audace de revendiquer ces carnages, nous les trouveront, et nous les condamneront !

y aurait il des differences?
les habitants de chez moi aurait bien voulu le meme genre de soutien ...

Les services du Ministère de la Paix feront le maximum pour lever la lumière sur ces actes de sabotage.

Ma meilleure enquêtrice, Toshi Ya, rejoindra Valeriane dans les meilleurs délais.

il ne sera pas utile d'envoyer vos chiens de garde monsieur le ministre.

ma police est bien plus efficace, car originaire de ces systemes.

il n'y aura donc pas de visa de passage. je reste sur mes positions quant à la garde de nuit. envoyez la plutot agir chez messieurs acilinn ou mac gregor. elle sera plus utile.

par contre, je continue à être attaqué au niveau de ma stabilité, bien que mes services soient d'un nieau efficace ... l'organisation qui agit doit être "puissante"

Bonjours M. le président, M. Vorhalas, je suis de retour depuis peu, je met immédiatement nos service sur l'enquête en coordination a M. Vorhalas.

Suite a de nouveaux éléments de preuve reçus de la part de la garde de nuit ainsi que de notre propre investigation, nous avons retrouvé certain crystaux contenant les schémas de construction de plusieurs bombes utilisées lors d'attentats orchestrés par l'OLP. certaines notes contenaient des adresses et endroits qui ont pour origine Valériane.

Avant que M. Krenven ne se mette sur ses grand chevaux, je ne l'accuse pas. si nous trouvons quoi que ce soit nous lui en ferons part.

Nous devons continuer notre enquête sur Valeriane.

Je doit donc demander a la cour d'obliger M. Krenven a nous permettre de continuer notre enquête sur Valeriane et ce sans autre menace de déportation ou autre.

Comme vous le savez très bien, l'autorité policière au sein des Protectorats est détenue par lesdits Protectorats. Avant de poursuivre plus en avant, je me pose une (ou plusieurs) question(s):

N'est-il pas normal que des adresses et endroits de Valériane se retrouvent mentionnés dans les cristaux, puisque Valériane fut (est encore?) une cible? L'OLP est un organisme terroriste, n'est-il pas habituel pour un groupe terroriste de s'implanter localement et de construire localement ses engins de mort? Et pour finir, pourquoi ne pas transmettre ces informations directement aux forces de polices du dénommé Krenven?

Toujours est-il que je ne peux que vous conseiller de prendre avant tout contact avec les pour organiser un voyage sur place de vos enquêteurs ou un transfert d'informations. Ce n'est qu'après un refus ou une impossibilité de dialogue que nous aurions à statuer.


Juge Smaiil